Le terrain, d’une rare particularité, se révèle exigu et encadré par un magnifique mur en clapas, typique de la région. Avec en parallèle la minéralité historique de la ville d’Uzès, l’emploi de la pierre massive est devenu incontournable.
Le projet se présente donc sous la forme d'une vaste masse rectangulaire en pierre massive prit entre les murs clapas existants. A l’ouest, elle affirme son caractère monolithique par un imposant mur faisant front à la voirie et dévoilant subtilement l'entrée. Un geste radical qui permet à la façade est d'être entièrement ouverte et d’offrir aux espaces de vie des vues à la fois intimistes et dégagées sur le jardin et ses oliviers.
On a ensuite orienté la maison selon le vent dominant et utilisé les contraintes de surélévation de 80 cm liées aux risques d'inondation pour transformer le vide technique en une grande gaine de ventilation traversant tout le bâtiment. Cette configuration permet de rafraîchir et d'enrichir en oxygène les bassins des patios qui perforent le volume de pierre. Ainsi, chaque espace de vie dispose d’un coin de fraîcheur isolé, évoquant l’apaisement de la place aux Herbes, véritable poumon du cœur historique d’Uzès. Certaines pièces se trouvent complètement déconnectées de l’extérieur, offrant comme seul panorama la pierre vibrante au rythme des bassins, contribuant à l'atmosphère particulière et intimiste de la maison.
En plan, le projet s’étend comme un long couloir d’espaces en terrasses successives, rythmées par plusieurs stèles de pierre, et descendant vers le sud. À son extrémité se trouve la partie la plus noble, avec une volumétrie généreuse et des vues imprenables sur le jardin. Cette partie de la maison peut être complètement indépendante du reste, répondant ainsi parfaitement au mode de vie des clients.
Ce long rectangle de pierre a été conçu en respectant les normes d'usinage de la carrière locale, ce qui a permis d'optimiser les coûts et de simplifier le processus de construction. Toutefois, des jeux d’angles, d’orientations et de déséquilibres ont été intégrés pour réinterpréter de manière contemporaine le principe du clapas et ainsi animer la façade. Dans un souci de composition supplémentaire, nous avons varié les teintes de pierre et ajouté des touches de couleurs et de reflets, apportant ainsi un dynamisme accru à la façade et à la toiture du projet. En contraste avec l’aspect massif et statique des colonnes de pierre, des rideaux en mouvement introduisent une autre sensation de fraîcheur et de légèreté.
Pour parfaire ce projet, un bassin de nage, réalisé avec les cylindres extraits des carottages des pierres de la maison, achève la composition en offrant une perspective captivante vers la capitelle existante. Ce bassin, en harmonie avec le paysage, fait office de transition entre la modernité de la maison principale et cette ancienne cabane de berger.
Idéalement situé sur une falaise surplombant le Goulet de Brest et offrant une vue imprenable sur l'océan Atlantique, le nouveau site de production du groupe Exail se présente comme un projet compact et pragmatique, parfaitement intégré au paysage. L'expression architecturale du bâtiment se distingue par la forme élancée de son volume principal, agrémentée de quelques éléments annexes inspirés par l'architecture navale. La conception répond à une série de défis exigeants, allant de l'adaptabilité et de la flexibilité des espaces à la minimisation de l'impact environnemental du bâtiment, en passant par l’optimisation de la relation entre les employés et la mer, source de leur activité quotidienne.
Le pavillon à réhabiliter se situe au cœur d’une zone résidentielle des années 50 à Versailles. Il présentait des espaces intérieurs sombres et mal distribués, isolant un grand sous-sol inexploité et déconnectant les espaces de vie du jardin environnant. Pour remédier à ces problèmes, quatre interventions architecturales ont été proposées : l’installation de quatre grands puits de lumière circulaires pour éclairer les espaces intérieurs, fluidifier les transitions et donner de l’importance aux espaces de circulation. Ces interventions sont réalisées à partir de co-produits de briqueterie francilienne, notamment du «béton-chamotté» provenant de briques invendues ou malformées. Cette matérialité est le fruit d’une collaboration avec des designers et des entreprises locales, et est utilisée pour mettre en valeur l’organisation intérieure initiale du bâtiment tout en lui apportant une esthétique contemporaine.
Cette réhabilitation vise à ramener une expérience spatiale et émotionnelle au lieu tout en respectant son histoire et son savoir-faire local.
Le projet consiste à construire un pavillon en extension du bâtiment existant de l’Office National des Forêts (ONF) de Versailles, situé en bordure de voie ferrée. Notre objectif principal était d’intégrer harmonieusement le nouveau bâtiment dans le paysage forestier environnant, et d’exprimer par la matière et la forme les divers métiers de l’ONF. Le pavillon offre alors des espaces de travail fonctionnels tout en offrant une expérience immersive aux usagers, mettant en valeur les matériaux naturels et les savoir-faire forestiers. La pièce maîtresse du projet est son toit en bois, visible depuis le sentier forestier, symbolisant l’équilibre entre tradition et modernité. Les différentes parties du programme sont logées dans des blocs de bois qui structurent l’intérieur du pavillon, offrant une organisation claire et fluide. Le bois utilisé provient de la forêt domaniale de Versailles, soulignant l’engagement en faveur du développement durable.
Le projet se distingue également par son enracinement dans le terrain naturel, sa conception bioclimatique favorisant la ventilation naturelle et l’utilisation de matériaux écologiques pour assurer un confort thermique optimal.
Louvigné-du-Désert, mai 2020. La notion de gaspillage de matières grises s’est révélée à nos yeux lors d’une visite de la carrière Rault-Granit dans le cadre de notre projet de logements GL11.Sur les chemins de l’extraction, nous constatons alors que les volumes de granit extraits de la carrière et non utilisés sont largement supérieurs à ceux qui, dits « nobles », sont employés. Hors des standards de l’Industrie des Travaux Publics pour cause de «défaut naturel», «tâche» ou «forme inadaptée au façonnage mécanique », ils représentent 85% de la matière soustraite à la terre. Progressivement, nous prenons conscience que les reliefs qui nous entourent, couverts de verdure, sont issus de l’amoncèlement de déchets de granit. Désireux·ses de réemployer ces pertes de matière abondantes, nous avons avec Anna Saint-Pierre identifié et qualifié les différents déchets de la carrière. Cette démarche s’inscrit dans une volonté commune de valoriser les rebuts de productions industrielles régionales à travers la fabrication de nouveaux principes constructifs.
Exploration granitique et architecturale en cours en partenariat avec la Cité de l’Architecture et du Patrimoine.
Le centre, destiné à un public hypersensible et situé dans une zone pavillonnaire, vise à s’ouvrir sur la nature tout en préservant l'intimité des patients. L'édifice est une masse enduite perforée par plusieurs patios paysagés. Notre travail de mise en relief de cette matière permet à la façade de s'intégrer subtilement dans son contexte urbain tout en la distinguant avec élégance, surtout avec ses courbes contemporaines. L’ajout de modénatures en pierre cherche ensuite à réinterpréter les archétypes locaux et à revitaliser ce paysage urbain souvent trop uniforme et standardisé.
Le bâtiment rectangulaire, traversé par deux grandes circulations intérieures offrant des vues sur la nature, regroupe deux unités de soins distinctes pour adultes et personnes âgées/addictives, séparées sans interaction visuelle. Ces percements radicaux visent également à améliorer le confort thermique en été grâce à une orientation favorable aux vents et à des murs dotés d'une forte inertie. Chaque espace intérieur est minutieusement conçu pour répondre à des besoins thérapeutiques spécifiques, offrant des volumes généreux adaptés à une variété de consultations et de patientèle. L'organisation intérieure, pensée pour offrir des perspectives maîtrisées sur la verdure environnante et le ciel, crée une atmosphère apaisante. Les murmures rafraichissants de la cascade du jardin thérapeutique central complètent cette ambiance relaxante.
Le projet, mariant harmonieusement nature, matériaux et couleurs, se veut une partition thérapeutique attentive aux besoins des utilisateurs et aux impératifs environnementaux, avec des choix techniques écoresponsables engagés.
Le projet de réhabilitation du siège de la Région Centre-Val de Loire, face à la cathédrale d’Orléans, vise à respecter et améliorer le patrimoine existant en mêlant géométrie et matière.
L’élément central est la salle des assemblées, dont nous avons étendu la géométrie circulaire à l’ensemble du bâtiment. Des suspensions circulaires sous le dôme offrent un éclairage optimal et une acoustique améliorée. La modularité de la salle est renforcée par un grand rideau scénique et une tribune présidentielle démontable, s’adaptant à diverses fonctions. Les gradins en mousse acoustique et les pupitres en bois massif recyclés ajoutent une dimension écologique et durable. Les espaces périphériques, tels que le bar et la salle de conférence, utilisent des formes arrondies pour améliorer la lecture spatiale, notamment pour les personnes à mobilité réduite. L’utilisation de la pierre massive de la carrière de Souppes pour ces interventions prolonge l’héritage historique local. Le mobilier en aluminium, inspiré des pieds métalliques existants, intègre les exigences modernes tout en soulignant des éléments fonctionnels souvent négligés. Une rénovation en équilibre entre architecture, histoire locale et besoins contemporains, qui offre un espace fonctionnel et esthétique pour les activités de la Région.
Le terrain est localisé à l’extrémité ouest du paysage vallonné de la forêt de Fontainebleau, dans le secteur naturel des 25 bosses. Avec ses remarquables chaos de bloc de grès et son dénivelé, il est notamment très prisé des randonneurs ou des amateurs d’escalade. Contrairement à certaines parcelles voisines où d’imposantes pierres viennent rappeler la proximité du paysage rocheux, le terrain en est ici dépeuplé. Une absence qui est devenue un des points de départ de notre réflexion: l’idée d’une architecture qui devient, à travers sa composition, le reflet de cette invisible mitoyenneté paysagère.
La maison est donc composée d’un volume habitable boisé pris entre deux bandeaux de pierre. Une stratification matérielle renforcée et allégée par un débord des dalles supérieures et inférieures. La façade est habillée de lames de bois du site thermo-chauffées. Sous la forme de trois blocs boisés qui contrastent avec la minéralité du sol, elle se prolonge à l’intérieur du projet passif afin de séparer et organiser les espaces de jour et de nuit.
Réhabilitation d’un petit local pour accueillir les nouveaux bureaux de nos amis perspectivistes. Utilisation des déchets de la carrière de Noyan pour le mobilier.
Situé à 2km au sud d’Orléans, VD232 s’inscrit dans le contexte paysagé des bords de Loire. A la commande du projet, nous avons tout de suite eu l’intention d’une architecture qui finisse par miroiter la proximité du décors de l’affluent. Le fleuve n’étant pas visible depuis le site, la volonté de rappeler sa matérialité est pour nous d’autant plus forte.
L’extension prend donc la forme d’un volume horizontale qui vient entourer l’existant tout apaisant sa géométrie. La nouvelle façade principale est composée d’un bandeau sablée pris entre deux dalles blanches, haute et basse. Un biais dynamise sa perspective en nous invitant à entrer.
L’intégralité de la maison est réhabilitée autour d’un patio central et d’une toiture terrasse minérale. Des espaces paysagers aux allures de dunes amènent une ambiance supplémentaire au lieu.
La villa VD09 s’inscrit dans un contexte paysagé extrêmement fort. Au nord, elle fait face au sublime panorama du golfe du Morbihan tandis qu’au sud on retrouve le site mégalithique de Locmariaquer.
C’est donc une nouvelle fois autour de ce patrimoine architectural que l’agence a souhaité développer sa réflexion. Mais à la différence de notre hôtel HD11 où le travail était axé sur une recherche matérielle, nous voulions ici que le client vive la maison comme on traverse un dolmen. De manière contemporaine, dix orthostates (piliers) viennent donc soutenir un tablier supérieur. A l’intérieure du projet les espaces de vies sont articulés autour d’un couloir central qui, à l’image de son inspiration préhistorique, offre une expérience spatiale séquencée entre ombres et lumières, masse et vide.
L’utilisation d’un béton ocre vient rappeler la teinte des menhirs pendant que le rythme du bardage bois remémore au promeneur les ganivelles du chemin des douaniers.
Situé à 7km au nord de Rukomo, sur les hauteurs d’un plateau, notre sanctuaire se veut comme la finalité d’un pèlerinage paysagé contemplatif.
Avec une emprise rectangulaire mais sans réelle limite, le sanctuaire traverse et rassemble trois identités fortes et symboliques du paysage rwandais: la plaine, la forêt, la vallée. C’est donc au travers du divin de chacune de ces identités paysagères que nous sommes venus définir les espaces du refuge. Une sculpture de l’expression sensorielle et surnaturelle de la nature.
Du décor plat et lumineux de la plaine où se situe la chapelle de la lisière, entrée du sanctuaire ; jusqu’à la cime des arbres où flotte la chapelle de l’horizon, le paysage architectural du projet est décomposé d’une série de chapelles rayonnantes et isolées. Chacune d’entre elles tire au maximum les qualités sensorielles et spirituelles de son site afin de proposer au promeneur une succession d’expériences uniques. Elles mettent progressivement en condition le pèlerin avant l’accès à la dernière chapelle, aboutissement du pèlerinage.
Toutes vêtues de terre, elles sont le prolongement matériel direct du site et du patrimoine local. D’une sobriété éclatante, les différentes interventions architecturales deviennent des signaux et des points de repère dans le paysage. Elles appellent le lointain à une ascension entre réalité et divinité. Une expérience intemporelle d’évasion comme message de vie, de paix et d’avenir.
Révéler le caractère authentique d’un patrimoine grâce à une silencieuse géométrie de contraste. La transformation de cette ancienne école, autrefois chapelle, est donc animée par une série de formes triangulaires venant séquencer les espaces des futurs logements. Des interventions architecturales affirmées en réponse au caractère religieux des voûtes, arcs et modénatures de l’existant.
En réutilisant des déchets de carrières de granit Bretonne dans un projet Orléanais, nous voulons sensibiliser sur la notion de distance quand on parle de ressources locales. De fait, nous nous interrogeons sur la mesure de la proximité quand on sait qu’une majeure partie des commandes françaises du bâtiment favorise un granit étranger qui traverse les océans alors que des rebuts au potentiel d’usage concret s’entassent dans nos carrières.
Avec pour objectif de réhabiliter et d’agrandir un pavillon bordant la côte d’Emeraude, la matérialité granitique s’est de nouveau imposée comme une logique.
Lors de notre analyse de site, nous avons une nouvelle fois constaté qu’une carrière locale générait plus de 85% de perte à son extraction et sa transformation. De plus, les principales commandes de cette carrière étant pour les travaux publics, nous avons donc décidés que l’artisanat et l’outillage spécifique à cette chaine de production seraient le point de départ de notre conception architecturale.
Au sein du projet, la standardisation des bornes cylindriques pour voirie se superpose donc pour devenir des colonnes, les bordures de trottoir sont transformées en linteaux structurels, et le concassé devient du paillage pour la toiture et les emmarchements extérieurs. Des interventions architecturales de rupture qui viennent comme entourer, soutenir et magnifier le pittoresque du bâtiment existant. Avec sa colonnade périphérique et ses nombreux patios, cette masse aux couleurs locales vient rythmer en lumière et en matière l’ensemble des espaces de vie.
GM08, c’est comment redonner, à travers une démarche architecturale contemporaine de réemploi, de la noblesse à un artisanat devenu invisible dans notre paysage urbain.
Situé à 7km au nord de Rukomo, sur les hauteurs d’un plateau, notre sanctuaire se veut comme la finalité d’un pèlerinage paysagé contemplatif.
Avec une emprise rectangulaire mais sans réelle limite, le sanctuaire traverse et rassemble trois identités fortes et symboliques du paysage rwandais: la plaine, la forêt, la vallée. C’est donc au travers du divin de chacune de ces identités paysagères que nous sommes venus définir les espaces du refuge. Une sculpture de l’expression sensorielle et surnaturelle de la nature.
Du décor plat et lumineux de la plaine où se situe la chapelle de la lisière, entrée du sanctuaire ; jusqu’à la cime des arbres où flotte la chapelle de l’horizon, le paysage architectural du projet est décomposé d’une série de chapelles rayonnantes et isolées. Chacune d’entre elles tire au maximum les qualités sensorielles et spirituelles de son site afin de proposer au promeneur une succession d’expériences uniques. Elles mettent progressivement en condition le pèlerin avant l’accès à la dernière chapelle, aboutissement du pèlerinage.
Toutes vêtues de terre, elles sont le prolongement matériel direct du site et du patrimoine local. D’une sobriété éclatante, les différentes interventions architecturales deviennent des signaux et des points de repère dans le paysage. Elles appellent le lointain à une ascension entre réalité et divinité. Une expérience intemporelle d’évasion comme message de vie, de paix et d’avenir.
Le terrain, d’une rare particularité, se révèle exigu et encadré par un magnifique mur en clapas, typique de la région. Avec en parallèle la minéralité historique de la ville d’Uzès, l’emploi de la pierre massive est devenu incontournable.
Le projet se présente donc sous la forme d'une vaste masse rectangulaire en pierre massive prit entre les murs clapas existants. A l’ouest, elle affirme son caractère monolithique par un imposant mur faisant front à la voirie et dévoilant subtilement l'entrée. Un geste radical qui permet à la façade est d'être entièrement ouverte et d’offrir aux espaces de vie des vues à la fois intimistes et dégagées sur le jardin et ses oliviers.
On a ensuite orienté la maison selon le vent dominant et utilisé les contraintes de surélévation de 80 cm liées aux risques d'inondation pour transformer le vide technique en une grande gaine de ventilation traversant tout le bâtiment. Cette configuration permet de rafraîchir et d'enrichir en oxygène les bassins des patios qui perforent le volume de pierre. Ainsi, chaque espace de vie dispose d’un coin de fraîcheur isolé, évoquant l’apaisement de la place aux Herbes, véritable poumon du cœur historique d’Uzès. Certaines pièces se trouvent complètement déconnectées de l’extérieur, offrant comme seul panorama la pierre vibrante au rythme des bassins, contribuant à l'atmosphère particulière et intimiste de la maison.
En plan, le projet s’étend comme un long couloir d’espaces en terrasses successives, rythmées par plusieurs stèles de pierre, et descendant vers le sud. À son extrémité se trouve la partie la plus noble, avec une volumétrie généreuse et des vues imprenables sur le jardin. Cette partie de la maison peut être complètement indépendante du reste, répondant ainsi parfaitement au mode de vie des clients.
Ce long rectangle de pierre a été conçu en respectant les normes d'usinage de la carrière locale, ce qui a permis d'optimiser les coûts et de simplifier le processus de construction. Toutefois, des jeux d’angles, d’orientations et de déséquilibres ont été intégrés pour réinterpréter de manière contemporaine le principe du clapas et ainsi animer la façade. Dans un souci de composition supplémentaire, nous avons varié les teintes de pierre et ajouté des touches de couleurs et de reflets, apportant ainsi un dynamisme accru à la façade et à la toiture du projet. En contraste avec l’aspect massif et statique des colonnes de pierre, des rideaux en mouvement introduisent une autre sensation de fraîcheur et de légèreté.
Pour parfaire ce projet, un bassin de nage, réalisé avec les cylindres extraits des carottages des pierres de la maison, achève la composition en offrant une perspective captivante vers la capitelle existante. Ce bassin, en harmonie avec le paysage, fait office de transition entre la modernité de la maison principale et cette ancienne cabane de berger.